je n'ai pas compris le pourquoi de cette decision. On a tous vu les bienfaits de l'installation de la BAD et on s'est tous attendu de voir notre gouvernment se demener pour convincre les membres de l'UPM d'installer le siege de cette union chez nous. Aurait on eu peur des pressions sur le dossier des libertes publiques? Aurait on realise que nos chances etaient minimes et qu'il valait mieux se retirer de la course la tete haute? serait ce la libye qui a excerce des pressions sur notre gouvernement? on n'en sait rien comme d'habitude... Cette decision fait mal et tombe mal !
الإيقاف التحفظي والايداع بالسجن قبل إصدار الحكم يجب ان يكون الاستثناء وليس القاعدة. هذا الإجراء المعمم بالمحاكم التونسية هو سبب اكتظاظ السجون(50%من السجناء هم مواطنين موقوفين ولا يوجد حكم ضدهم) وثابت علميا انه يؤثر على مجرى العدالة بشكل كبير ويؤثر سلبا على الأحكام فنادرا ما يحكم الموقوف بالبراءة او بمدة اقصر من التي قضاها تحفظيا . هذه الممارسات تسبب كوارث اجتماعية واقتصادية و تجعل المواطن يحقد على المنظومة القضائية و يحس بالظلم و القهر Pour s'approfondir dans le sujet: Lire L'etude du Labo démocratique intitulée : "Arrestation, garde à vue, et détention préventive: Analyse du cadre juridique tunisien au regard des Lignes directrices Luanda"
Commentaires
C’est au détour d’un discret écho publié le 30 octobre que les rares masochistes tunisiens qui ont encore le courage de lire l’insipide journal officiel La Presse ont appris que leur pays ne souhaitait plus recevoir le siège de l’Union pour la Méditerranée (UPM).
Carthage exclut également de postuler pour le poste de Secrétaire général de cette machine lancée en grande pompe à Paris, le 13 juillet dernier. Regroupant 43 pays, l’UPM est une sorte de pacte entre les pays du Nord et ceux du Sud qui s’installe dans le sillage du processus de Barcelone. C’est à Marseille, ce lundi 3 novembre, que le siège permanent du secrétariat de l’UPM sera choisi « par consensus », à l’occasion de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union.
Le désistement de Tunis, qui intervient deux semaines après celui de Rabat, est une surprise tant le président à vie Ben Ali semblait emballé par le projet. Il y a tout juste trois semaines, Alain Joyandet, Secrétaire d’État français chargé de la Coopération et de la Francophonie, soutenait ceci à partir de Tunis : « j’ai dit au Premier ministre (tunisien) que la France considérait que la Tunisie avait beaucoup d’atouts pour accueillir le secrétariat de l’Union pour la Méditerranée (…). En tous cas, la France juge la candidature de la Tunisie comme une candidature particulièrement intéressante et qui a beaucoup d’atouts. »
Le virage à 180 degrés de la diplomatie tunisienne, jadis connue pour sa présence et sa combativité, n’a pas été officiellement expliqué. Cependant, le site Internet Gnet.tn avance cette savoureuse hypothèse. « D’aucuns vont jusqu’à penser que les sifflements de la Marseillaise, à l’issue (sic) du match amical Tunisie/France, pourraient être pour quelque chose dans cette affaire. Des couacs se seraient produits entre la Tunisie et la France qui auraient privé la première du soutien de la dernière à sa candidature pour ces deux rôles clefs de la nouvelle institution méditerranéenne. »
Qui pourrait croire que la « racaille » réussirait à brouiller la durable lune de miel entre Paris et Notre ami Ben Ali ?
Ce n’est pas une blague. Mais c’est une information officielle. La Tunisie n’est pas intéressée ni par le secrétariat général ni par le siège de l’Union pour la Méditerranée. Un étrange revirement après que le nom de notre pays a figuré en bonne place pour abriter une telle institution.
Après le Maroc, c’est la Tunisie qui retire subitement à quatre jours de la tenue de la conférence des ministres des Affaires étrangères méditerranéens, prévue les 3 et 4 novembre à Marseille, sa candidature pour abriter le secrétariat de l’UPM. La Tunisie s’est dit même non intéressée pour briguer le poste de SG. Cette information publiée sous forme d’écho dans le quotidien gouvernemental «la Presse» d’hier nous laisse un tantinet perplexes. Pourquoi ce désistement soudain ? Y a-t-il eu un arrangement entre Tunis et d’autres membres de l’UPM pour un nouveau partage des rôles, différent de ce qui était prévu initialement ?
Interrogée par GlobalNet une source informée au Ministère des Affaires étrangères nous dit en substance : « Cette information a été publiée dans un journal gouvernemental. C’est une bonne information ». Mais, elle s’est abstenue de tout commentaire.
D’aucuns vont jusqu’à penser que les sifflements de la Marseillaise, à l’issue du match amical Tunisie/France, pourraient être pour quelque chose dans cette affaire. Des couacs se seraient produits entre la Tunisie et la France qui auraient privé la première du soutien de la dernière à sa candidature pour ces deux rôles clefs de la nouvelle institution méditerranéenne.
Mais, tout ceci n’est que conjectures. Et on n’est malheureusement pas dans le secret des dieux pour déchiffrer ce qui reste pour le moment indéchiffrable.
Un indice toutefois. La Tunisie a reçu il y a deux semaines la visite du secrétaire d'Etat espagnol aux affaires étrangères, Angel Lossada, qui avait évoqué avec des responsables tunisiens des préparatifs de la réunion de Marseille.
Le même responsable espagnol a annoncé récemment à Alger que l'Espagne a présenté la candidature de Barcelone pour abriter le siège du secrétariat général de l'Union pour la Méditerranée. De là à penser que la nouvelle institution méditerranéenne verra le jour en Espagne, il y a qu’un doute que le désistement tunisien a contribué à dissiper.
Reste qu’entre l’annonce tapageuse initiale du projet de l’union méditerranéenne, et les multiples révisions et changements dont il n’a cessé de faire l’objet, que reste-t-il de cette nouvelle union qui promet monts et merveilles pour un avenir prospère du bassin méditerranéen. Pas grand-chose, hélas. Et ironie du sort : il y a comme un retour à la case départ et une exhumation du processus moribond de Barcelone, a fortiori, si le SG finira par avoir la ville espagnole pour adresse.
Il faut attendre mardi et mercredi pour savoir, d’une manière officielle, ce qu’adviendra de ce qui est déjà dénommé : Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée. Les officiels des deux rives, du moins la majorité d’entre eux, continuent à y croire en s’efforçant de camoufler leurs réticences. La Tunisie se dit aussi être fidèle à ses engagements méditerranéens, et sera présente à la conférence de Marseille. Malgré cette dernière décision qui mérite un petit éclairage, histoire de remettre les pendules tunisiennes à l’heure méditerranéenne.
maintenant même si les conjonctures sont ce quelles sont, c'est zizou qui doit s'en vouloir de soutenir des "racailles" comme dit plus haut.
C'est quoi dabord cette UPM? Soyez sure que meme si vous posez la question a des diplomates Francais et Tunisiens ils ne vont pas te repondre. Parce que tout simplement cette UPM ne consiste a rien.