Le gouvernement tunisien a introduit la tritherapie dans le traitement des personnes vivants avec le virus du sida (PVS) en 2000. Il a ainsi rendu la prise en charge de cette maladie totalement gratuite. Puisqu'en parallele au traitement, le gouvernement a aussi offert la prise en charge d'examens biologiques assez couteux a savoir le compte de CD4 et la charge virale.
A premiere vue, on pourrait se feliciter de la situation de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH. Mais les choses ne sont pas aussi roses. Un article paru en May 2008 (Arch Virol (2008) 153:1103–1108) rapporte que nos chers PVS rencontrent un taux de resistance au traitement assez consequent et qui depasse meme et de loin une majorite de pays d'afrique subsaharienne. Une resistance au traitement conjugue a l'absence de tritherapie de 2eme intention aura des effet facheux sur la sante des malades ( qui risquent d'y laisser la vie) mais aussi sur le pronostic des personnes nouvellement infectes.
Les causes de la resistance au traitement sont pourtant evitables... Il suffit en effet de veiller a l'adherance des qlq 300 personnes sous traitement en Tunisie a leur traitement... etre sur que nos patients mangent a leurs faims et qu'il prennent leurs traitement tous les jours. Il faut surtout mettre a niveau la CHAINE DE STOCKAGE ET DE DISTRIBUTION des medicaments pour eviter toute rupture dans les stocks ( qui st selon moi la principale cuase de ce chaos)... 300 personnes est un nombre insignifiant de malades quand on pense a d'autres pays ou les patients sont comptes en centaines de milliers... Il est vraiment impardonable d'avoir un tel taux de resistance dans un environnement aussi maitrisable que celui de la Tunisie... Je dirais meme que c'est une honte d'afficher de tel chiffres quand on connait la qualite de l'infrastructure, des ressources humaines et les fonds offert par la communaute internationale a notre pays pour lutter contre cette maladie transmissible.
A premiere vue, on pourrait se feliciter de la situation de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH. Mais les choses ne sont pas aussi roses. Un article paru en May 2008 (Arch Virol (2008) 153:1103–1108) rapporte que nos chers PVS rencontrent un taux de resistance au traitement assez consequent et qui depasse meme et de loin une majorite de pays d'afrique subsaharienne. Une resistance au traitement conjugue a l'absence de tritherapie de 2eme intention aura des effet facheux sur la sante des malades ( qui risquent d'y laisser la vie) mais aussi sur le pronostic des personnes nouvellement infectes.
Les causes de la resistance au traitement sont pourtant evitables... Il suffit en effet de veiller a l'adherance des qlq 300 personnes sous traitement en Tunisie a leur traitement... etre sur que nos patients mangent a leurs faims et qu'il prennent leurs traitement tous les jours. Il faut surtout mettre a niveau la CHAINE DE STOCKAGE ET DE DISTRIBUTION des medicaments pour eviter toute rupture dans les stocks ( qui st selon moi la principale cuase de ce chaos)... 300 personnes est un nombre insignifiant de malades quand on pense a d'autres pays ou les patients sont comptes en centaines de milliers... Il est vraiment impardonable d'avoir un tel taux de resistance dans un environnement aussi maitrisable que celui de la Tunisie... Je dirais meme que c'est une honte d'afficher de tel chiffres quand on connait la qualite de l'infrastructure, des ressources humaines et les fonds offert par la communaute internationale a notre pays pour lutter contre cette maladie transmissible.
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