En Tunisie, la qualité de l'eau empire d'année en année ! le taux de salinité augmente a vue d'oeil. Le sud de la Tunisie qui vit essentiellement en utilisant ses nappes souterraines est le premier a payer le prix de la diminution qualitative de la qualité de cet élément vital. En effet le taux de salinité dans ses regions depassent de loin le 1 gr / litre ( seuil qui definit l'eau saumatre) pour atteindre parfois les 5gr/ litre.
L'industrie touristique florissante, l'irrigation des cultures (80% de la consommation) et le gaspillage sont critiqués pour etre les sources de ce manque qui est inherant, a mon avis, au developpement éconmique et social que connait la Tunisie et qui constitue a la limite un mal nécessaire et un dommage collateral du progres "non durable".
Face a cette diminution qualitative et parfois quantitative (selon les années) l'Etat réagit et il a massivement investit dans les projets de retention d'eau, des systemes de vases communicants qui amoindrissent la salinité de certaines eau. Des strategies visant a moderer la consommation et a augmenter l'exploitation des eaux usés ont été egalement elaboré. On a meme installé des usine de dessalement d'eau qui servent actuellement la region de Gabes, Kerkenah et Djerba.
Malheureusement, ces solutions qui contiennent le probleme quantitatif n'ameliorent pas trop la qualité de l'eau qui restera salée dans les regions les plus desertiques. Dans ce cas, je pense qu' au lieu d'investir des millions dans les usines de dessalement pourquoi ne pas importer de l'eau de la libye qui grace a son fleuve artificiel peut se targuer d'avoir une eau a faible salinité ( inf a 0.5 gr/litre).
Une action dans ce sens est souhaitable ! qui sait peut etre que nos chers voisins qui sont tellement fier de ce fleuve nous venderons un peu de leurs richesse ( ca servira, en plus, leurs propagande)...
L'industrie touristique florissante, l'irrigation des cultures (80% de la consommation) et le gaspillage sont critiqués pour etre les sources de ce manque qui est inherant, a mon avis, au developpement éconmique et social que connait la Tunisie et qui constitue a la limite un mal nécessaire et un dommage collateral du progres "non durable".
Face a cette diminution qualitative et parfois quantitative (selon les années) l'Etat réagit et il a massivement investit dans les projets de retention d'eau, des systemes de vases communicants qui amoindrissent la salinité de certaines eau. Des strategies visant a moderer la consommation et a augmenter l'exploitation des eaux usés ont été egalement elaboré. On a meme installé des usine de dessalement d'eau qui servent actuellement la region de Gabes, Kerkenah et Djerba.
Malheureusement, ces solutions qui contiennent le probleme quantitatif n'ameliorent pas trop la qualité de l'eau qui restera salée dans les regions les plus desertiques. Dans ce cas, je pense qu' au lieu d'investir des millions dans les usines de dessalement pourquoi ne pas importer de l'eau de la libye qui grace a son fleuve artificiel peut se targuer d'avoir une eau a faible salinité ( inf a 0.5 gr/litre).
Une action dans ce sens est souhaitable ! qui sait peut etre que nos chers voisins qui sont tellement fier de ce fleuve nous venderons un peu de leurs richesse ( ca servira, en plus, leurs propagande)...
Commentaires
http://www.liberation.fr/dossiers/eau/
certes le tunisien consomme beaucoup mais le plus grande d'eau consommé (je crois à 80%) est l'oeuvre de l'agriculture. peut etre qu'il faudrait cesser d'encourager l'agriculture destiné à l'exportation pour ça.le tourisme particpe à 8 ou 9%. il ya aussi les industries. donc les coupables ne sont pas toujours ce qu'on croit.
IK
Pour l'acheminer en tunisie ou en algérie, c'est un autre problème.
D'après une étude que j'avais lu sur le problème de la pénurie d'eau en tunisie, normalement, on devraient commencer à manquer à partir de 2010 .L'augmentation de la salinité de l'eau est un des indicateurs. Nos plus grandes nappes phréatiques se situent dans le sud et il se peut que nous pompons plus vite qu'elles ne se reconstituent.Quand à ce qui est de béneficier de l'immense réserve lybienne, il faut évaluer le coût d'acheminement, le débit qu'elle est prête à nous consentir sans hypothéquer son avenir . La lybie ne verra aucun inconvénient si nous prenons en charge la construction d'un nouveau fleuve à partir d'un point de captage distant de peut-être 2000 km, mais nous garantir un débit régulier, prélever sur ses canalisations destinés à la région de tripoli, c'est une autre histoire. Autrement dit , c'est une question de coût, il faut évaluer les distances et les dénivellés possible ou pas. Sinon, il faut des stations pompages et dans tous les cas une dépendance certaine de l'humeur du président.
- Pour les agriculteurs il faut les encourager à utiliser le goutte à goutte
- Limiter les sondage
- Pour les ménagères utiliser un lave vaisselle limite la consommation d'eau c'est un investissement qui sera amorti en quelques mois
- Les stations de lavage de voiture qui doivent être automatisées
- Pour les particuliers: récolter l'eau de pluie
enfin pleins de petits gestes qui ont l'air insignifiants mais quand ils sont pratiqués par un grand nombre de personne ça limite un peu les dégats.
1/ La consommation domestique tunisienne n’est pas ici le problème principal. Beaucoup a déjà été fait dans la lutte au gaspillage ; la tarification progressive impose à nombre de ménages une vigilence de tous les instants. En d’autres termes, les gains de ce côté, si l’on peut encore en faire, seront marginaux.
2/ Le projet libyen de Fleuve artificiel n’est pas une solution durable. Il témoigne d’une vision à court terme de l’enjeu et constitue le fruit d’un contexte politique particulier : 30 ans d’isolationnisme. La grande rivière artificielle contribue massivement au tarissement des réserves que se partagent l’Égypte, le Soudan, le Niger, le Tchad, l’Algérie et la Tunisie. Ces nappes fossiles ne peuvent se renouveler. Comme l’a très bien expliqué Bugsbunny, il faudra alors chercher la ressource ailleurs.
3/ Les transferts massifs et les idées un peu ubuesques d’importations d’eau par bateau sont des options trop onéreuses !
4/ Impérator, ce que tu suggères s’appelle le commerce d’eau virtuelle. J’ai un post fraîchement envoyé sur le sujet dans mon blog… intéressant mais complexe à réaliser !!
http://cosmauxpolis.blogspot.com/
5/Le dessalement est véritablement une voie d’avenir pour la Tunisie; la technique s’améliore (la qualité de l’eau dessalée est irréprochable : c’est une pratique répandue dans de nombreux hôtels !); le coût du dessalement baisse régulièrement…