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Aeroport de Djerba : mi novembre !


Source: Pierre (Harissa.com)

Commentaires

Anonyme a dit…
Désolé, mais je crois que dans la vie il faut être tolérant. Je suis pour la paix des pays, des religions,etc. La rancune ne sert à rien. Que pensez-vous "metalmadtn" de l'holocaust? Il y a eu aussi beacoup de victimes. Alors, ne pensez-vous pas qu'il faut ARRETER d'ETRE asuui OBTU d'esprit. Merci a ta photo zizou. C'est ça la TOLERANCE.
Anonyme a dit…
la visite de Shalom aura servi au moins à kkchose (sic).

@anonymous. être victime de l'holocauste ne donne pas le droit de massacrer les être humains.

@zizou. good job ! tu remerciera tes amis de Harissa de ma part.
Anonyme a dit…
je suis un grand admirateur et partisan du peuple juif et d'Israel. au moins, c'est un peuple qui a su gardé son intégrité et a des idées claires et précises et cela depuis le début du temps. pas comme d'autres.

vive Isarael

bokère tove
Anonyme a dit…
sur certains points Israel a réussi admirablement, le problème c'est qu'elle adopte une politique coloniale et d'apartheid et cela
certains ne le voient même pas !!!
Anonyme a dit…
Les temps changent, nos interets et nos objectifs aussi!!! C'est la loi de la nature!!! Il faut faire avec mon cher Zizou!!!
TuNiZieN a dit…
les descendants des survivants de l'holocaust font la même chose sur des innocents ...les palestiniens et les arabes sont pour rien ...alors si vous avez des rancunes allez fouter le bordel en Europe...à BAS l'oppréssion à BAS l'occupation, à BAS la colonisation, à BAS i-s-r-a-e-l, "i" comme "infernal", "s" comme "sadique", "r" comme "radin", "a" comme "aveugle", "e" comme "égoïste" et "l" comme "lâche"
Anonyme a dit…
C' est lamantable comme vous etes intolereux et bornes:
1-Demandez a vos parents pourquoi les juifs TUNISIENS ont fuit la tunisie, leur pays!@ k-pax, le rouge sang du drapeau est aussi celui des juifs TUNISIENS qui ont combattu pour la liberation de la Tunisie: Leur recompense? Les "autres" Tunisiens les ont foutus dehors pdt la defaite de Nasser( guerre des 6 jours).
2-Vous parlez de quelle occupation? Israel a toujours appartenu aux Israeliens, au peuple Juif..je vous propose de lire un peu d' histoire.
3-Tniziens, tu pense que se faire peter en tuant des civiles est legitime? Je ne dis pas que bombarder des quarties est bien, mais il faut etre juste et s' auto-critiquer un ti peu!
Anonyme a dit…
@anonyme (je ne sais pas lequel des anonymes, à supposer qu'il sont plusieurs).

1° quand on a le courage de ses opinions on poste sous sa véritable identité.

2° il est vrai qu'israel force véritablement l'admiration de l'opinion publique mondiale avec tout ce qu'il fait endurer aux pauvres palestiniens. c'est non seulement inhumain et barbare mais aussi indécent, de la part de ceux qui ont subi cette terrible souffrance qu'est l'Holocauste.

3° il n'y a aucune "loi de la nature" qui joue ici. la loi c'est le droit. et le droit international exige d'israel qu'il quitte les territoires occupés et qu'il revienne aux frontières de 67.

4° pour lire l'histoire je crois que tu as des lunettes différentes de celles des historiens du monde entier. des lunettes sombres et myopes qui ne voient pas l'évidence historique, à savoir le plan délibéré, méthodique pour créer un Etat d'Israel sur la terre de palestine. les juifs avaient besoin d'un terre, peu importe où elle se trouve. d'ailleurs dans un premier temps Theodore Hertzl, le père du sionisme, voulait implanter l'Etat en Afrique, précisément en Ouganda. ce n'est que par la suite que l'idée tout autant extrémiste que ridicule et historiquement infondée, de "terre promise" a pris le pas pour amener les juifs à transférer leur plan en palestine.

5° les juifs tunisiens sont, comme tous les autres tunisiens, d'abord des tunisiens. et je suis fier qu'ils le soient. ils sont dépositaires d'un héritage civilisationnel et culturel important et ont tant donné à leur pays. leur départ en 67 est un événement triste qu'il faut toutefois replacer dans son contexte. je ne le justifie guère mais je le comprend. il exprime la colère et l'impuissance des tunisiens face à la souffrance de leurs frères palestiniens. n'oublie pas qu'israel, qui compte bcp de juifs d'origine tunisienne, a bombardé la tunisie en 1985, terre de bcp de ses citoyens. dans ce bombardement, 70 tunisiens et palestiniens sont morts, victime du terrorisme d'état, de l'état d'israel.

@Tunizien. tu es ridicule.
Anonyme a dit…
COURS D'HISTOIRE ANCIENNE:

Le Royaume d'Israël est le royaume proclamé par les Israélites vers -1050.

-1010 à -970 : David, roi d'Israël.
-972 à -933 : Salomon, roi d'Israël.
Salomon construit le premier Temple juif de Jérusalem (dit Temple de Salomon) : sa construction dura sept ans, sous la forme rectangulaire de 50 m sur 30 m environ. L'ami de Salomon, le Roi de Tyr, Himram (actuel Liban) fournit les ouvriers. (Description)
-933 : Séparation en deux royaumes juifs : Israël et Juda.

Le terme d'Israël a un sens proche de « que Dieu se montre fort » ou « celui qui a lutté avec Dieu »

Il apparait pour la première fois dans la Bible pour désigner le nouveau nom de Jacob, fils d'Isaac, petit fils d'Abraham au moment où celui-ci traverse le gué de Yabboq (Genèse 32, 22)

Jacob (Israël) aura 12 fils et une fille (Dinah) qui sont à l'origine des douze tribus d'Israël.

Ce mot désigne ensuite le peuple d'Israël, considéré dans la bible comme le peuple élu pour porter et faire vivre la parole de Dieu (Première Alliance).

Après la fuite de l'Égypte et l'installation en Palestine, se crée le Royaume d'Israël, dont la période la plus florissante correspond au règne du roi Salomon et qui regroupe les 12 tribus.

Par la suite, le royaume d'Israël se limitera à la partie nord du territoire (10 tribus), tandis que le royaume de Juda (2 tribus) occupera le sud du territoire.

On date généralement la fin du royaume d'Israël à l'assaut des Assyriens en 721 av. J.-C. et la déportation de la population, et la fin du royaume de Juda en 597~586 avant J.-C. lorsque le roi de Babylone, Nabuchodonosor II, s'empare de Jérusalem. À partir de ces dates, commence la diaspora juive. Le peuple juif reviendra en partie sur ses terres mais restera sous la tutelle d'autres peuples jusqu'à la destruction du temple de Jérusalem (70 après Jésus-Christ) et la prise de Massada (90 après Jésus-Christ) qui signe la disparition d'Israël jusqu'au XXe siècle.

"Palestine" (Grec ancien: Palaïstinè ; Latin: (Syria) Palæstina ; Hébreu biblique : פלשת Pəléšeth ; Arabe : فلسطين Filastīn) désigne depuis l'Antiquité la région située entre la mer Méditerranée et le Jourdain ; selon les époques, cette désignation correspond à une bande côtière plus étroite ou au contraire s'étend également au-delà du Jourdain. Elle est aujourd'hui habitée par les peuples israélien et palestinien et comprend l'État d'Israël et ce qui est communément appelé "Territoires palestiniens occupés".

Le terme Palestine a une longue histoire et a le plus souvent désigné une division administrative et/ou politique d'un empire, depuis l'époque romaine jusqu'à l'époque ottomane puis sous le mandat britannique, à l'exception notable de l'époque des Croisades pendant lesquelles cette "Terre sainte", qui a une place essentielle dans les trois grandes religions monothéistes, a été disputée pour sa signification religieuse. Pour le peuple juif, ce territoire est nommé "Erets Israel" et est considéré comme un héritage biblique.

Les Arabes de Palestine ont pris, dans l'histoire moderne, le nom de "peuple palestinien", en référence à cette terre. "Palestine" est également destiné à devenir le nom de l'État qu'ils revendiquent et que demande la communauté internationale (ONU, un grand nombre d'États, initiative de Genève).

Évolution des emplois du terme "Palestine"
Dans la langue française, le terme "Palestine" est utilisé depuis des siècles pour désigner le territoire situé géographiquement entre Méditerranée et Jourdain. Pourtant, on lui reconnaît aujourd'hui plusieurs sens:

Le premier usage géographique du terme, qui désignait précédemment une circonscription ottomane ("Filastin") puis le territoire du Mandat britannique ("Palestine"), perdure, même s'il a pris un sens politique et a perdu une partie de sa neutralité, spécialement après la création de l'État d'Israël en 1948. Notamment, certains Israéliens et/ou Juifs perçoivent dans l'utilisation du terme "Palestine" un déni de l'existence bien réelle de l'État d'Israël sur une partie de ce territoire, ou de sa légitimité sur cette même terre. Et le fait de désigner par "Palestine" un éventuel futur État arabe sur les territoires palestiniens occupés accroît pour eux cette confusion. Toutefois, la partie arabe continue d'appeler Palestine soit la région dans son intégralité, soit seulement la Bande de Gaza et la Cisjordanie, tandis que le terme "Palestiniens" est adopté pour désigner tous les habitants arabes de Palestine, y compris souvent les habitants arabes de citoyenneté israélienne.
Le sens politique du terme est apparu avec la proclamation d'un "État de Palestine" par l'OLP à Alger en 1988; uniquement certains États l'ont reconnu, principalement des pays arabes et islamiques. Mais ce nom est repris pour désigner l'État toujours revendiqué par les Palestiniens aujourd'hui. Pour certains d'entre eux, il s'agira d'un État qui s'étendra sur les "territoires palestiniens occupés" par Israël (Gaza et Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est). Pour d'autres, le but de cet État serait de couvrir l'ensemble de la "Palestine" géographique. Cet État (dans sa version qui reconnaîtrait Israël) est prévu par l'ONU et devrait voir le jour en plusieurs étapes à l'issue de négociations et de concessions des deux parties, qui ont été définies par la "Feuille de route pour la paix". Les "territoires autonomes palestiniens" et l'"Autorité palestinienne" qui les administre constitueraient le point de départ pour la formation de ce futur État. Pris dans ce sens récent, le terme a reçu une reconnaissance officielle à l'ONU puisqu'un siège d'observateur a été attribué sous la dénomination de "Palestine" à l'Organisation de libération de la Palestine en tant qu'organisation représentant le peuple palestinien.
Dans un contexte religieux, ce même territoire est aussi appelé "Terre Sainte" par les Chrétiens ou "Erets Israel" par les Juifs et recouvre l'ensemble des territoires décrits par la Bible. Cette région est connue dans le texte sous le nom de Pays de Canaan puis de Terre d'Israël.
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Histoire
Pour une chronologie détaillée, voir l'article Histoire de la Palestine

Charnière entre la vallée du Nil et la "terre entre les fleuves" (Mésopotamie), le pays a été habité depuis des millénaires et a connu la présence de nombreuses dominations d'empires et de brassage de peuples. Chronologiquement, il connut la domination des : Natoufiens, Cananéens, Hébreux, Assyriens, Perses, Grecs, Romains, Byzantins, Arabes, Croisés, Ottomans et Britanniques. Il est l'enjeu d'un conflit qui s'étend depuis un siècle entre Juifs et Arabes, qui implique les trois religions monothéistes qui voient dans ce pays une "Terre Sainte".

Ci-après, un survol historique relève en même temps l'extension et les emplois du terme "Palestine".

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Terre des Cananéens et des Philistins
Le nom "Palestine" dérive de celui des Philistins, peuple qui a vécu sur la bande côtière de la Méditerranée du sud-est entre la fin de l'Âge du Bronze et le début de l'Âge du Fer. Les Philistins sont mal connus, car ils n'utilisaient pas l'écriture. On dispose de références à ce peuple dans des documents égyptiens (qui en font l'un des "Peuples de la mer" envahisseurs de l'Egypte sous Ramsès III) et désigne par "Peleset" (P-l-s-t) la région qu'ils habitent. Les Philistins et leur pays "Peleshet" (פלשת Pəléšeth) sont également mentionnés dans la Bible (qui parle aussi de "Cananéens" à la fois antérieurs et voisins par rapport aux "Philistins") : les Hébreux étaient régulièrement en guerre avec ce peuple dont les principales villes étaient Ashdod, Ashkelon, Ekron, Gath et Gaza.

Ceux qui préfèrent le nom Israël pour appeler cette terre, dénoncent l'utilisation du terme "Palestine" en référence aux Philistins comme un faux historique. La Bible ne mentionne "Peleshet" que lors des guerres entre Hébreux et Philistins et parle de ce peuple qui habite quelques villes dans les environs d'Ashkelon et non l'ensemble de la terre entre le fleuve et la mer qui est connue comme "Pays de Canaan". Ce furent les Romains qui rappelèrent le nom des Philistins pour appeller cette terre "Syria Palæstina", pour effacer même dans le nom le souvenir des Juifs et des états juifs qui s'y succédèrent.

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Terre des Hébreux
La Bible relate la conquête du Pays de Canaan par Josué et les Hébreux, conquête qui commence par des territoires à l'est avant de franchir le Jourdain au niveau de Jéricho. Elle désigne plusieurs fois l'ensemble de la Palestine comme la Terre Promise à leurs ancêtres. Plusieurs générations plus tard, le Royaume de David et de Salomon comprend Jérusalem et l'ensemble du territoire entre Méditerranée et Jourdain avant de s'affaiblir avec la division en deux royaumes.

Ensuite, la région connaît la domination assyrienne puis perse mais une large automonie est laissée aux Hébreux, dès le règne de Cyrus.

Le terme de "Palestine" (Palaïstinê) apparaît pour la première fois sous la plume de l'historien grec Hérodote, au Ve siècle av. J.-C. (Histoires, 1,105 ; 2,104 ; etc.). Ptolémée et, plus tard, en latin, Pline l'Ancien parlent également de "Palestine", en lien avec la "Syrie". Le terme est utilisé en référence à l'ancien peuple des Philistins. Après celle des Perses, la Palestine connaît la domination grecque. Alexandre le Grand conquiert la région en 333 av. J.-C. Les diadoques ("successeurs") d'Alexandre, Ptolémées d'Égypte et Séleucides de Syrie, se disputent ensuite la région.

Au IIe siècle av. J.-C., les Hébreux, qui refusent l'hellénisation forcée, se révoltent sous les Macchabées (Hasmonéens) et cherchent à obtenir l'aide du Sénat romain ; ils fondent le royaume de Judée, constitué autour de Jérusalem, qui sera indépendant entre 141 et 63 av. J.-C. Leur lointain allié romain finira par se rapprocher de la région, avec la fondation de la « province d’Asie » à Pergame puis avec le déplacement des guerres civiles romaines en Égypte.

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La Palestine romaine et byzantine
En 63 av. J.-C., Pompée le Grand conquiert la "Palestine" et en fait un protectorat romain. Des rois juifs la gouvernent, tel Hérode Ier le Grand (73 - 4 av. J.-C.), sous le règne duquel naît Jésus-Christ, à Bethléem. À cette époque, ce territoire est majoritairement habité par des Juifs et par des Samaritains, de langue araméenne, mais avec un usage large du grec. Des païens étaient aussi établis dans cette région (Tibériade, par exemple, n'était pas une ville juive). Le pouvoir est partagé en micro-royaumes avec des statuts divers. On a un reflet de cette situation dans les Évangiles, avec la pluralité de juridictions qui instruisent le procès de Jésus lors de la Passion : Sanhédrin juif, tribunal de Pilate, audience par Hérode Antipas (qui règne sur la Galilée). La situation varie (le Sanhédrin, qui ne pouvait directement condamner à mort Jésus, le fera ultérieurement pour saint Etienne et pour saint Jacques).

La situation politique est instable et connaît deux révoltes juives :

de 66 à 73 apr. J.-C., aboutissant à la destruction du Temple (Titus et Vespasien)
de 132 à 135, aboutissant à l'expulsion des Juifs de Jérusalem (Hadrien).
Jérusalem est nommée "Aelia Capitolina" et la région est intégrée dans la province de "Syrie-Palestine" (Syria Palæstina), nouvelle dénomination, calquée sur le grec, de ce qui était auparavant appelé en latin Syria Judaea ("Syrie Judée" ou "Syrie juive").

Après la chute de l'Empire romain d'Occident, la Palestine reste dans l'orbite romaine et connaît, comme tout le Levant, un âge d'or, comme en attente l'archéologie (monuments, population dense et prospère). Constantin 1er, converti au christianisme, s'intéresse à la Palestine. Sa mère sainte Hélène visite la région et fait de la Terre Sainte un centre du pèlerinage chrétien. Sur les sites qu'Hadrien avait transformés en temples païens, elle retrouve le Saint-Sépulcre, le Golgotha et le site de la Nativité ; des basiliques somptueuses y sont érigées.

Vers 390, la Palestine est divisée en 3 provinces :

Palestine Première (Palaestina Prima), chef-lieu Césarée : Judée, Samarie, Pérée, côte méditerranéenne ;
Palestine Seconde (Palaestina Secunda), chef-lieu Scythopolis : Galilée, basse plaine de Jézréel, vallée du Jourdain à l'Est de la Galilée, Ouest de la Décapole ;
Palestine Troisième (Palaestina Tertia), chef-lieu Pétra : Néguev, Sud de la Jordanie (détaché de la province d'Arabie), Ouest du Sinaï.
La domination romaine-byzantine sera brièvement interrompue par l’occupation perse (614-629), avec de nombreuses destructions (sauf l'église de Bethléem : les Perses y ont vu la représentation des Mages, en habits perses, et auraient épargné le sanctuaire pour cette raison). L'arrivée des armées arabo-islamiques met fin à la "Palestine" romaine : Jérusalem est prise en 638.

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La Palestine arabe, le Royaume de Jérusalem, les royaumes musulmans
Les Arabes divisent la province d'ash-Sham (Syrie) en cinq distinct (jund), dont l'un garde le nom de "Palestine" (فلسطين, Filastīn) et s'étend du Sinaï jusqu'à Akko (future Saint-Jean d'Acre) ; son chef-lieu est d'abord Ludd (Lydda, Lod) puis dès 717 ar-Ramlah (Ramla) et plus tard Jérusalem. Les autres villes les plus importantes sont Rafah, Gaza, Jaffa, Césarée, Naplouse et Jéricho. Ce district de "Palestine" était bordé au nord et à l'est par celui de "Jordanie" (al-Urdunn), qui avait pour capitale Tibériade et incluait Acre et Tyr. Les frontières entre ces deux districts ont plusieurs fois varié au cours de l'histoire. À partir du Xe siècle, cette division a commencé à tomber en désuétude, pour faire place, finalement, au Royaume latin de Jérusalem.

Le nom de "Palestine" n'a plus de valeur officiel sous le gouvernement des Croisés, qui créent le Royaume latin de Jérusalem ; Jérusalem redevient capitale d'un État. Voir l'article Royaume de Jérusalem.

Après la défaite et le départ des Croisés, aux XIIe et XIIIe siècles, les jund (districts) arabo-musulmans sont réintroduits, mais leurs frontières sont sans cesse redéfinies. À la fin du XIIIe siècle, la "Syrie" est divisée en 9 "royaumes", dont les royaumes de Gaza (avec Ascalon et Hébron), Karak (avec Jaffa), Safad (avec Acre, Tyr et Sidon) et Damas (avec entre autres, au sud, Jérusalem). Au milieu du XIVe siècle, le système des districts est réinstauré et "Filastin" redevient le nom officiel d'un territoire : un district ayant pour chef-lieu Jérusalem (avec les villes de Ramla, Ascalon, Hébron, Naplouse). Tibériade est le chef-lieu d'un autre district, celui de "Hauran".

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L'Empire ottoman
Le nom de "Palestine" perd sa valeur officielle sous l'Empire ottoman. La population locale continue d'utiliser familièrement ou officieusement "Filastin" et le terme de "Palestine" reste en usage en Europe, comme terme géographique. Au XIXe siècle, le gouvernement ottoman se met à utiliser le terme de "terre de Palestine" (Arz-i Filistin) dans sa correspondance officielle, pour désigner la zone située entre la Méditerranée et le Jourdain. Cet usage reflète celui de la population arabe, qui parfois, semble-t-il, utilise Filastin pour désigner le seul arrondissement (sandjak) de Jérusalem. En 1882, la Palestine comptait 25 000 Juifs et 500 000 Arabes.

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La Palestine selon la Société des Nations (mandat britannique)
Après le démantèlement de l'empire ottoman, l'administration de la Palestine a été confiée à la Grande-Bretagne par la Société des Nations en 1920 sous la forme d'un mandat provisoire en attendant que les populations locales soient capables de s'autogérer. Une première vague d'immigration d'inspiration sioniste (voir Histoire du sionisme) au début du siècle, puis d'autres plus massives (juifs européens de l'est, juifs arabes et juifs russes), dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, a profondément modifié le caractère démographique et politique de la région.

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La Palestine selon l'ONU en 1947 (plan de partage) et les événements de 1948
En 1947, l'ONU présente un plan de partage de la Palestine entre un Etat arabe et un Etat juif, grosso modo à parts égales, avec une internationalisation de Jérusalem.

Ce plan ne se réalise pas, car les troubles entre Juifs et Arabes, que les Britanniques parvenaient à peine à contenir, s'aggravent et débouchent sur une guerre internationale impliquant les Etats arabes voisins, qui s'opposent à l'indépendance d'un Etat juif et ne souhaitent pas un Etat arabe supplémentaire. Il en résulte :

un Etat d'Israël plus étendu que dans le plan de 1947
un partage de Jérusalem entre une zone israélienne (Ouest) et une zone jordanienne (Est) au lieu de son internationalisation
une occupation de la Cisjordanie (par la Jordanie) et de la Bande de Gaza (par l'Egypte)
l'exil et la déportation pour des milliers de réfugiés palestiniens
une ligne d'armistice appelée la "ligne verte"
Pour les Israéliens juifs, 1948 est l'année de la réalisation du rêve d'un foyer national, celui de l'indépendance de leur Etat. Pour les Palestiniens arabes, c'est l'année de la "Nakba" (catastrophe) et une étape essentielle dans le processus de constitution, dans l'adversité, d'une identité nationale "palestinienne".

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1967, la Guerre des six jours
En 1967, à l'issue de la Guerre des Six Jours, toute la Palestine est sous contrôle israélien : l'Etat d'Israël, la Cisjordanie (y compris Jérusalem-Est, qui sera annexée), la Bande de Gaza, ainsi que le plateau du Golan (pris à la Syrie, qui sera annexé) et le Sinaï (pris à l'Egypte, qui sera restitué dans le cadre d'un accord de paix). Israël devient maître des lieux saints juifs - mais aussi chrétiens et musulmans.

Le Conseil de sécurité de l'ONU (résolutions 242 et 338) exige la fin immédiate de cette occupation; dans l'intervalle, les habitants palestiniens arabes de Cisjordanie (y compris Jérusalem-Est) et de Gaza sont protégés par la IVe Convention de Genève, qui précise les devoirs et les droits de ces civils et des forces militaires d'occupation ; cette Convention interdit notamment les colonies de peuplement et la détention de civils palestiniens en territoire israélien.

La limite entre Israël et les territoires disputés reste la "ligne verte" de 1948.

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1993 à aujourd'hui
Un processus politique de paix naît à l'issue de la première intifada et connaît une étape décisive avec les Accords d'Oslo en 1993, qui instaurent une Autorité palestinienne et des "territoires autonomes". Le processus n'aboutit cependant pas à l'arrêt du terrorisme palestinien, ni à la fin de la violence dans la région. Après l'échec de négociations en 2000 et la visite jugée provocatrice d'Ariel Sharon sur l'Esplanade du Temple/des Mosquées, éclate une second intifada, très violente : attentats terroristes, "assassinats ciblés", destruction des infrastructures palestiniennes, représailles. En outre, un "mur de séparation" est construit dans les territoires occupés et, jusqu'en été 2005 au moins, la colonisation se poursuit.

La solution d'un partage de la Palestine (et de Jérusalem) entre deux Etats semble peu à peu s'imposer et être admise par toutes les parties. Israël et les USA admettent l'idée d'un Etat de Palestine, les Etats arabes affirment en 1996 et en 2002 (sommet arabe de Beyrouth) l'idée d'une normalisation totale traduite par un accord de paix et dans le cadre du droit international (acceptation par Israël d'un Etat palestinien, retour aux frontières de 1967 et "solution équitable" au problème des réfugiés). L'"Initiative de Genève", inofficielle, tente de dessiner les détails de cette solution, en complément de la "Feuille de route" (parainnée par le "Quartette" : ONU, USA, UE, Russie) qui définit des étapes vers cette solution, incluant l'étape d'un "Etat provisoire" de Palestine. étriques au sujet du départ des pays arabes des réfugiés juifs.

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Géographie
Pour un article complet, voir Géographie de la Palestine

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Terre de religions
La Palestine est le berceau de deux grandes religions monothéistes, le judaïsme et le christianisme, et une terre sainte pour la troisième, l'islam. Depuis des siècles, tous se croisent et se retrouvent sur le sol de la Palestine, terre hautement sacrée et chargée de symboles pour ces trois grandes religions. Des lieux de culte et de vénération sont éparpillés sur tout ce territoire historique : Jérusalem, Hébron, Bethléem, Jéricho, le Lac de Tibériade sont autant de noms de villes et de lieux qui font vibrer la fibre religieuse de centaines de millions de personnes dans le monde.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Palestine#Terre_des_H.C3.A9breux
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_d%27Isra%C3%ABl »
Anonyme a dit…
Conclusion ?

- on doit foutre dehors les non juifs pour laisser les juifs ?
- on doit foutre dehors les américains pour laisser les indiens ?
- on doit foutre dehors les australiens pour laisser les aborigènes ?

ridicule ....
TuNiZieN a dit…
@ K-pax, Merci...grosse tête...Mais pliz si tu n'approuve pas un comment de ma part alors passe sans le regarder ..car si moi je suis ridicule alors toi tu es LOURD
Anonyme a dit…
@anonyme. merci le copier-coller.

donc si j'ai bien compris, on doit rendre la tunisie aux libanais car c'est eux qui l'ont fondée. et la France doit rendre des terres à l'Allemagne. Les E-U aussi, doivent non seulement demander pardon aux indiens parce qu'ils ont en massacré 20 millions (le plus gros génocide de l'histoire de l'humanité)mais aussi fiche le camp et leur rendre leurs terres.
Anonyme a dit…
@k-pax: désolé mais je crois que vous devez être très jeune pour réagir ainsi et avoir très peu de notions réelles d'histoire et de tolérance.
@zizou: il faut faire attention à des dérapages. la photos était une très bonne idée mais apparemment certains lecteurs ont du mal à comprendre sa signification.
@anonyme: je sais qu'il y en a plusieurs car j'ai écris certains des ces remarques. Jeunes: soyez ouverts et tolérants. Ce n'est que comme ça que la vie avance. Arretez de profaner vos haines. Comment voulez vous que ces blogs résistent si a chaque fois on se sent insulté?
J'aime cette photo.
Elle génère un débat. Il faut en parler pour comprendre, mais de grâce pas d’injure.
Comprendre l’héritage de l’histoire mais ne pas en être responsable. Le monde dans lequel nous vivons et comme vous l’avez parfois mal compris est fait de guerre de violation des droits humains et de meurtre. Tel a été ce monde, souhaitons qu’il change.
Je suis tunisien musulman, j’ai été à l’école avec des Juifs des Chrétiens de nationalité de condition sociale et de race différentes. Nous vivions normalement ensemble.
Il y a beaucoup de misères humaines combattons la en dehors de toute religion.
Soyons libres, égaux et fraternels ?
Aimons nous les uns les autres !
Toutes les religions sont tolérantes, respectons-les !
Ne nous déchirons pas sur ce moyen de communiquer extraordinaire qui nous permet de mettre la main dans la main et former une chaîne universelle pour l’amitié et la TOLÉRANCE
Sebba
Anonyme a dit…
@anonyme2. vous êtes tous anonymes ici. c courageux.

"Si le peuple un jour aspire à la vie, le destin doit se plier à sa volonté". Abou Kacem Achabi, poète tunisien.

@Sebba. c bien beau ce que tu dis. j'y souscris pleinement. malheureusement, c'est une vision angélique du monde.
Anonyme a dit…
ya3tik 3asba lik we l'esrael yai anonume men wa9tech israel kenet terre promise?
etre juif est nationalite ou une religion?

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La famille Pavlovic ( que bcp en Tunisie conaissent) fete sa slava cette semaine ! plein de monde est invité a une fete unique que seul ce peuple originaire des Balkans celebre. voici ci dessous un pt article qui presente cette coutume Une slava ou célébration du jour de la fête du Saint patron de la famille est une importante fête religieuse pour les Serbes orthodoxes. Les Slavas se déroulent tout au long de l’année mais la plupart ont lieu durant les mois d’hiver. Quelle est l’origine de cette fête ? Cette tradition remonte aux temps où les Serbes étaient païens , époque où chaque famille avait sa divinité protectrice. Comme pour tous les peuples européens, au sein desquels bien des traditions païennes ont été transformées en fêtes chrétiennes pour faciliter leur conversion, les Serbes ont pu conserver la tradition de la slava, finalement acceptée par Byzance , en remplaçant le dieu païen protecteur par un saint patron chrétien . au XIIIème siècle, Rastko Namanjie, canonisé sous

دروس الكورونا

تسونامي الكورونا سيمر و الثمن سيكون غاليا على الأرواح و الاقتصاد . علينا التمعن فيما سيحصل وخاصة التعلم من هذه الأزمة لأن تونس والعالم سيتغير بسرعة في السنوات القادمة.  دروس الكورونا:  اولا : أهمية الخبرة و العلم: بعد سنوات من الشعبوية و التصحر العلمي الكورونا يعطينا درس في أهمية الخبرة والعلم في مواجهة الأزمات . فالخبراء والعلماء هم الذين سيجدون الحل و هم الذين الذين سينقذون الأرواح و غير ذلك سيكون ثمنه باهضا و سيذكره التاريخ. ثانيًا : التضامن: صحتي و صحتك و صحة العموم   تعتمد على منظومة صحية تخدم الجميع. فعلى الكل ان يحافظ على صحة الجميع. نفس الشيئ ينطبق على الاقتصاد فلن تنفعك أموالك اذا الأسواق فارغة و لن تستطيع مجابهة الأزمة اذا دولتك منهارة . وهذا ينطبق أيضا على العلاقات الدولية.  ثالثًا : استعمال التكنولوجيا : التكنولوجيا هي التي ستجعل من العمل يتواصل عن بعد و هي التي ستصنع الدواء و للقاح لما يكتشف، هي التي ستغير المنظومة التربوية و الصحية و هي التي ستنقذ الدول التي لا طالما حاولت تأخير دخولها لحياة الناس. الرقمنة و استعمال المال إلكترونيا و كل هذه الإصلاحات ستصير بسرعة من جراء ا