L’homosexualité paraît être la pratique sexuelle la moins tolérée par la société (77,3 %), suivie de l’adultère (12 %), des relations sexuelles sans mariage (7,7 %) et en dernière position la masturbation (3 %).
Ce sont les plus jeunes qui pensent que la pratique sexuelle la plus interdite par la société est l’homosexualité.
81,6 % des hommes résidant dans le milieu urbain pensent que la pratique sexuelle la plus intolérable par la société est l’homosexualité contre 66,3 % pour les hommes résidant dans le milieu rural.
89,3 % des célibataires pensent que la pratique sexuelle la plus intolérable par la société est l’homosexualité et seulement 69,1 % des mariés ou séparés le pensent. 17,4 % de ces derniers désignent l’adultère comme la pratique sexuelle la plus mal acceptée par la société contre 4,1 % parmi les célibataires.
Ceci prouve que la mutation sociale a peu ou pas d’influence sur notre conception de l’homosexualité, puisque l’homophobie, qui tend à disparaître dans l’Occident, reste bien ancrée dans la mentalité des jeunes de notre société.
35,3 % des hommes reconnaissent avoir eu au moins une fois dans leur vie des relations homosexuelles (définies comme toute activité homosexuelle débutant vers l’âge de l’adolescence). Ces relations sont plus fréquentes en milieu rural (47 %), où domine la prohibition de la mixité, qu’en milieu urbain (30,9 %). Un seul homme (0,33 %) de notre population était exclusivement homosexuel.
Les rapports anaux
Rapports annaux Célibataires Mariés et séparés Total
Non 33,9 % 69,1 % 60,7 %
Oui 66,1 % 30,9 % 39,3 %
Pratique des rapports anaux en fonction du statut matrimonial
Un homme marié sur trois pratique le rapport anal avec sa femme alors que deux célibataires sur trois le pratiquent et c’était dans 67,6 % des cas avec une femme célibataire.
82,6 % des hommes de niveau d’instruction supérieur pratiquent le rapport anal alors que ce pourcentage est de 35,1 % pour les autres niveaux.
La plus grande proportion de sujets jeunes et célibataires qui pratique le rapport anal pourrait être rattachée à la préservation de la virginité chez la fille jusqu’au mariage.
En effet, la majorité des adolescents va avoir recours à cette pratique pour éviter la défloration de leur partenaire même s’ils se heurtent parfois au refus de celle-ci.
Ce sont les plus jeunes qui pensent que la pratique sexuelle la plus interdite par la société est l’homosexualité.
81,6 % des hommes résidant dans le milieu urbain pensent que la pratique sexuelle la plus intolérable par la société est l’homosexualité contre 66,3 % pour les hommes résidant dans le milieu rural.
89,3 % des célibataires pensent que la pratique sexuelle la plus intolérable par la société est l’homosexualité et seulement 69,1 % des mariés ou séparés le pensent. 17,4 % de ces derniers désignent l’adultère comme la pratique sexuelle la plus mal acceptée par la société contre 4,1 % parmi les célibataires.
Ceci prouve que la mutation sociale a peu ou pas d’influence sur notre conception de l’homosexualité, puisque l’homophobie, qui tend à disparaître dans l’Occident, reste bien ancrée dans la mentalité des jeunes de notre société.
35,3 % des hommes reconnaissent avoir eu au moins une fois dans leur vie des relations homosexuelles (définies comme toute activité homosexuelle débutant vers l’âge de l’adolescence). Ces relations sont plus fréquentes en milieu rural (47 %), où domine la prohibition de la mixité, qu’en milieu urbain (30,9 %). Un seul homme (0,33 %) de notre population était exclusivement homosexuel.
Les rapports anaux
Rapports annaux Célibataires Mariés et séparés Total
Non 33,9 % 69,1 % 60,7 %
Oui 66,1 % 30,9 % 39,3 %
Pratique des rapports anaux en fonction du statut matrimonial
Un homme marié sur trois pratique le rapport anal avec sa femme alors que deux célibataires sur trois le pratiquent et c’était dans 67,6 % des cas avec une femme célibataire.
82,6 % des hommes de niveau d’instruction supérieur pratiquent le rapport anal alors que ce pourcentage est de 35,1 % pour les autres niveaux.
La plus grande proportion de sujets jeunes et célibataires qui pratique le rapport anal pourrait être rattachée à la préservation de la virginité chez la fille jusqu’au mariage.
En effet, la majorité des adolescents va avoir recours à cette pratique pour éviter la défloration de leur partenaire même s’ils se heurtent parfois au refus de celle-ci.
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